jeudi 10 mai 2012

la cybermaison du rock

Enfin! la Maison du rock, déja présente sur Face Book et sur myspace, étend ses tentacules dans le cyberworld histoire de vous tenir informé plus régulièrement de ses activités, de la cave au grenier, sans oublier le garage bien sur.
un magazine bien connu commence toujours ses numéros par un courrier de lecteurs qui nous informe qu'être rock en 2010, 2011, 2012 etc, c'est blablabla...La maison du Rock l'est-elle, rock? Le noyau dur de la gazette y a baigné, c'est évident, mais dans leur prime enfance régnait en maitre le rock, le hard et les balbutiement du rap. Le rythm'n'blues était joué alors par des guitaristes ou pianistes noirs ou par un célèbre groupe au chanteur à la bouche hypertrophiée mais pas par de demoiselles court-vétues à la poitrine débordante.
Néanmoins,  ***** peut avoir la larme à l'oeil en écoutant luis mariano, **** avoue un faible pour Sheila, période yéyé et les musiques de western, on retrouve dans la discothèque(*) de ****** des disques de Marc Aryan juste après ceux de Louis Amstrong, *** collectionne les chants folkloriques de la fanfare de Esneux, et ****, ce n'est même pas un rockeur, il écoute du rap et pas seulement les Beasties Boys et il porte des baskets.

La gazette du rock aurait pu s'appeler "la gazette de toutes les musiques qu'on aime, sauf la merde, parce qu'on est pas sectaire" mais après un bref brainstorming on s'est dit que bon, bref, voilà.




Ci-dessus, le sommaire de la gazette du printemps. On la trouve dans certaines boutiques à liège, Bruxelles, paris etc mais vous pouvez la commander aussi via la boutique, par virement ou chèque français en attendant le paypal et les autres productions de la maison du rock (badges, cartes, etc) 

Le blog s'étoffera au fur et à mesure d'infos diverses, le temps qu'on devienne de véritables geeks. Nous vous invitons à vérifier régulièrement l'état de notre évolution de vieux passéistes vynilesques en jeunes cools et cyberbranchés.

(*)en parlant de discothèque, il ne s'agit ni d'une boite où l'on danse, ni d'un mp4 ou ipod débordant mais d'une véritable étagère aux disques amoureusement serrés les uns contre les autres. un régal lors des déménagements.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire